Formée en relaxation sonore car passionnée par les vibrations et ondes des plantes puis des bols, je vous propose des soins au haut pouvoir vibratoire !
Venez profiter d’un moment de détente pour un massage sonore en individuel ou pour une relaxation sonore en groupe.
Il y a plusieurs dates de notées sur les produits :
DDM Date de Durabilité Minimale
DLC Date Limite de Consommation Pour les denrées périssables. Une fois la date passée, la denrée ne présente pas de danger
Pour aller plus loin …
Les produits sont en promotion car la date indiquée sur le produit est dépassée. Mais sachez que cela n’affecte en rien les produits.
Pourquoi me dites vous ? car les dates sont des indications qu’on nous oblige de fournir à la clientèle et sur la plupart de mes produits, la date indiquée est une DDM Date de Durabilité Minimale…
Ce qui veut dire que l’on peut encore les utiliser 😉 Mais peu de personnes savent la différence entre les DDM, les DLC Date Limite de Consommation ou encore DLUO Date Limite d’Utilisation Optimale….
Le problème, et moi la 1ère, c’est qu’instinctivement, quand on voit la date, on se dit sans réfléchir, c’est la date limite de consommation, mais il faut bien regarder le sigle avant la date, comme ça, vous saurez si c’est vraiment la date limite ou juste la date minimale 😉
En sachant qu’en plus, pour avoir le choix entre tous mes produits, nous avons testé les produits fraichement faits et les produits faits depuis quelques mois, et surtout pour les hydrolats, nous préférons ceux faits il y a quelques années, c’est comme le vin, ça se laisse vieillir 😉
Alors, profitez en, car non seulement ils sont meilleurs mais en plus, ils sont en promo 😉
Les hydrolats ou eaux florales sont issus de la distillation des plantes dans un alambic.
La distillation peut intervenir juste après la cueillette (lavande, basilic, menthe..) ou après quelques jours de préfanage (à l’ombre et bien ventilé), pour les résineux (pin, sapin, cyprès, etc…).
Le procédé d’extraction utilisé est la distillation par entraînement à la vapeur d’eau. Pour ce faire, je dispose d’un alambic en cuivre à colonne de 100L.
Pour les hydrolats, le rapport est de 1 pour 1, c’est à dire que pour 1 kg de plantes cueillies je récupère 1 litre d’hydrolat de cette plante.
Les plantes sont soit placées dans la colonne soit dans le chaudron (pétales uniquement).
L’eau est placée dans la chaudron, chauffée et une fois arrivée à 100° devient vapeur.
La vapeur d’eau passe dans la cuve qui contient la plante à distiller. Au passage elle se charge en “composés actifs” de la plante, puis est refroidit en passant dans le serpentin entouré d’eau froide et sort donc en phase liquide.
Le résultat est le distillat, il contient l’hydrolat (ou l’eau florale) et l’huile essentielle de la plante distillée. Celui arrive dans l’essencier qui permet de séparer les deux par décantation.
L’essence est une sécrétion naturelle de la plante contenue dans des micro-poches. Celles-ci, selon les plantes, peuvent se trouver dans les fleurs, les feuilles, les semences, la tige, les aiguilles, le bois et les racines.
L’huile essentielle est plus légère, elle se retrouve donc à la surface et reste dans l’essencier. Les hydrolats sortent de l’essencier et stockés dans un bidon. Ils sont filtrés directement à la sortie de l’essencier.
Les 2 alambics en cuivreDistillation de verveineInstallation alambichuile essentielle surnageant